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Avec Olivier de la rue ketanou, Karim de mon côté punk, Alex Roger à la
batterie, Olivier "koka" cocatrix à la basse et Thierry Roques à
l’accordéon, tous plus ou moins originaires du Quercy.
C'est du OLIVIER pour ce qu'on en connait, les chansons de voyages et de
rencontres, parfois gaies parfois sentimentales de LRK mais qui ne se
ferment jamais, pas de désespoir, même la tristesse ou les
interrogations sont belles.
Quinté+ : Dans le désordre, chant, guitares, basse, accordéon,
percutterie et plus si affinités. Batignolles, c’est de l’artisanal dans
toute sa noblesse par des sans-culottes en marcels.
C’est un alambic qui distille de la patate, décomposant en mille
morceaux des textes de Bruant ou Dimey, en passant par nous... Ambiance!



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Dans les chansons de Florent Vintrigner, pour la Rue Kétanou comme pour
ses propres disques, on n'entend guère de soumission aux usages et aux
contraintes - « Je ne cire que les bottes que je porte », écrit-il dans
sa chanson La Traversée. Sa liberté d'artiste est du même esprit : «
Avant la Rue Kétanou, nous avions chacun nos propres projets. Mourad et
Olivier avaient à l'époque le groupe Mektoub, moi je faisais déjà mon
tour de chant. Quand la Rue Kétanou a vraiment décollé, nous nous y
sommes entièrement consacrés. Nous ne faisions qu'une petite échappée de
temps en temps, avec l'idée qu'un jour ou l'autre nous reviendrions à
ces projets laissés en suspens. » Né au cours de l'été 1998, le trio la
Rue Kétanou sort son premier album en 2001. Succès immédiat. Florent,
Mourad et Olivier sont en permanence sur la route ou en studio. Après
l'enregistrement en public du troisième album du trio, Ouvert à double
tour, en 2003, « on a jugé que la Rue Kétanou avait laissé une empreinte
suffisante pour qu'on ne l'oublie pas immédiatement ». Il est donc temps
de renouer les fils rompus quelques années plus tôt. Mourad et Olivier
lancent Mon Côté Punk et Florent commence à tourner avec le répertoire
qui nourrira son premier album solo, T'inquiète Lazare.
Dès lors, les aventures artistiques des trois complices vont à la fois
alterner et s'entrelacer. On verra ainsi les musiciens de Mon Côté Punk
et du groupe de Florent se joindre en concert à la Rue Kétanou. « C'est
très compliqué d'avoir deux groupes, très compliqué d'accorder les
agendas des uns et des autres. Mais nous tenons à tout, tout est
important, rien n'est une parenthèse. » Car la Rue Kétanou compte autant
que les aventures personnelles : L'Homme préhistorique pour Florent, le
groupe Batignolles pour Olivier (Bruant, Dimey et de nouvelles
chansons), plusieurs projets de théâtre pour Mourad. Florent sourit : «
Etre artiste n'est pas une envie, c'est un besoin.
»
(bio Ladilafé, novembre 2009)

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"Nous ne sommes pas à la rue, c'est la rue qu'est à nous".
Un message d'espoir ? Oui. Une promesse de concerts fabuleux ? Oui. La
Rue Kétanou : un trio qui a la patate, qui nous la file et qui continue
son petit bonhomme de chemin.
Mourad Musset, Olivier Leite, et Florent Vintrigner
on joué sur scène au
théâtre avant de jouer de la musique dans la rue, dans les bars, sur des
petites scènes puis sur des plus grandes.
Florent écrit un petit spectacle musical destiné à être joué par 3
personnes. Florent + Mourad + Olivier = 3 = 1 accordéon + 2 guitares + 1
voix. Le tour est joué. Ou plutôt le spectacle : à l'île de Ré, puis à
La Rochelle, et dans des bars, rues etc. La chanson « La Rue Kétanou »
devient le titre de leur spectacle, puis le nom du groupe. Les 3
artistes jouent même en Irlande, au Portugal et à New York. Comme quoi
le Français s'exporte bien.
En 1998, ils sont en première partie de Zebda puis de Tryo. Avec ces
derniers, ils vont jusqu'à l'Olympia en 2000. C'est la boîte de
production de Tryo qui produit en 2001 le premier album de La Rue
Kétanou, « En attendant les caravanes ». Le bébé «
rock-acoustico-tzigane » se vend à 25 000 exemplaires !
Le bouche-à-oreille fait ensuite son travail, le public grossit. En 2002
paraît l'ensoleillé mais sérieux « Y'a des cigales dans la fourmilière »
: grand succès pour ce petit groupe qui monte, et qui grimpe de salle en
salle, de bar en bar, de rue en rue, de festival en festival. Leurs
concerts sont très conviviaux, vivants, pêchus. Ah il faut la voir la
tête des gens quand ils en sortent : du sourire dans les yeux, des
paroles aux coins des lèvres et le corps qui frétille !


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