2016 : 41ème Festival de la Chabriole

 

Samedi 16 juillet  à 19h00

Interscène musicale : FAUNE ACOUSTIQUE

 

Oaï Star

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HK & Les Saltimbanks

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Babylon Circus

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En 2016, le groupe repart sur scène, tout en préparant un nouvel album, prévu pour l'automne.

    

En 2004, les Massilia Sound System décident de laisser place à des projets solo. Lux Botté et Gari Greu décident de reformer le groupe Oai Star, qui avait déjà sévi comme un spin-off rock du Massilia au début des années 2000 (album Volume 2). L'album Oaistar sort au printemps 2004 chez Adam/Wagram avec une première tournée nationale. En 2006, ils sortent un troisième album Va à Lourdes et aiolisent la France, la Suisse, la Belgique avec une tournée d'une centaine de concerts.

Le 18 juillet 2008, Lux Botté décède à Gardanne (Bouches du Rhône) d'un cancer, à l'âge de 47 ans. Gari Greu annonce que le groupe continuera à mettre le oai partout avec un nouvel album qui sortira à l'automne 2009.

Le jeune artiste suédois Dubmood intègre le groupe en septembre 2008, fleuron de la scène Chipmusic, il va redéfinir le son du Oai Star à l'aide de sa Gameboy. Le single Chéri(e) sort en juillet 2009 ; la chanson est écrite par Claude Sicre des Fabulous Trobadors. Le nouvel opus des phocéens, Manifesta, sort le 21 septembre 2009 chez Roker Promocion/Wagram.

Candice du groupe Eths les a rejoint pour l'album Manifesta, en complétant le duo de chant de Gari.

Une nouvelle tournée a démarré en novembre 2013, et l'album Oai & I est sorti au printemps 2014.

 

 

 

 

Si Kaddour Hadadi est l’auteur de l’emblématique chanson « On lâche rien ! », reprise dans le film «La vie d’Adèle» (Palme d’Or) et dans tous les cortèges des manifestations depuis 2012, il milite surtout pour le rapprochement de ces cultures d’ici et d’ailleurs qui forment la Culture française dans toute sa diversité.

 

 

Après "Citoyen du monde" sorti en 2011, album sur lequel figure la désormais célèbre « On lâche rien »; après « Les Temps Modernes » en 2012, et ses hommages à Chaplin, Brel et Stéphane Hessel; HK & Les Saltimbanks nous présentent aujourd'hui leur 3ème opus, "Rallumeurs d'étoiles", dont le titre est inspiré d'un vers d’Apollinaire :  "Il est grand temps de rallumer les étoiles".

 

En ces temps "sombres, et propices aux obscurantismes de toute forme entre fanatismes et xénophobies, cet album se conçoit à la fois comme un hommage et une utopie. Une ode à tous les « rallumeurs d'étoiles » anonymes, qui chaque jour, à leur petite échelle, par un geste, un engagement, une parole, une création, entretiennent une lueur.

 

Des chansons pour aujourd'hui et pour demain, comme  "Rallumeurs d'étoiles" dont le refrain est chanté par les enfants du groupe, "Dounia", en duo avec le chanteur malien Aboubacar Kouyaté ou encore "Para cuando la vida ?", chanson aux accents hip-hop/world où HK se joint au chanteur chilien Leon Pena Casanova pour interroger nos sociétés « déshumanisantes ».

 

Des chansons d'amour et de poésie aussi comme "Si un jour je tombe" et "Je te dis non". Amour, musique, voyage... alors, adieu HK le chanteur engagé ? Certainement pas ! Mais un engagement qui se veut surtout créatif, musical, artistique et toujours "sans haine, sans armes et sans violence" (titre d'une chanson de cet album).

 

Tout ça, tout ce qu'il est, tout ce qu'il combat, tout ce qu'il défend, HK l'explique dans la chanson "A nous d'jouer", revenant sur son parcours : 20 ans d'écriture et de chansons, du bas des tours HLM de son quartier jusqu'aux plus grands festivals ; 20 ans de combats contre toutes formes de préjugés, d'étiquettes et d'à priori. 20 années qui, espère-t-il, en appellent 20 autres, en compagnie des Saltimbanks !

 

NOUVEL ALBUM – NOUVEAU SPECTACLE : NEVER STOP

 Habitué à enflammer les publics du monde entier, Babylon Circus revient avec un nouveau live et un nouvel album plus rock !

 

Presque vingt ans à voyager et à partager leurs rencontres, leurs espoirs et les épreuves, avec le public pour navire, qui les a portés et qu'ils ont emporté partout. De Lyon à Sydney, de New York à Annonay, du Sziget au Womad, ils ont fait le tour du monde plusieurs fois, en un peu plus de 1500 concerts.

 

La bande de potes qui voulait faire du « reggae-ska parce que c'est cool», s'est retrouvée à jouer sa musique, sans étiquette, sans style attitré, avec pour moteur l'envie de découvrir, de mélanger et de rassembler. Tout ce qu'ils ont rencontré leur a pris et donné quelque chose. Ils se sont métissés, ils ont grandi, sont tombés et se sont relevés, toujours plus eux.

 

Ils reviennent avec un album plus rock et qui leur ressemble, un album vif et patiné, riche d'une maîtrise acquise avec les années et rempli du souffle qui les anime depuis toujours. "Never stop", c'est le titre de ce 5e opus, il sonne comme un credo.